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A la une

NAO 2025 : les entreprises devraient mettre en avant les packages salariaux

Face à des budgets d’augmentation revus à la baisse, les négociations salariales devraient englober les packages monétaires et non monétaires, selon l’Observatoire annuel de performance sociale et des rémunérations de LHH. Des dispositifs complémentaires bienvenus pour anticiper des NAO 2025 qui s’annoncent tendues.

Dernière ligne droite pour la négociation annuelle obligatoire : dans les entreprises, DRH et organisations syndicales se retrouvent actuellement pour finaliser les projets d’accord sur les augmentations salariales 2025. Un dossier où les sujets de friction sont nombreux. Car cette année, rien ne milite pour un excès de générosité. Sous la triple influence de la chute de l’inflation, de la conjoncture économique et des incertitudes sur le PLF et le PLFSS pour 2025, les employeurs devraient jouer la prudence.

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La commission mixte paritaire du Parlement s'accorde pour réduire la hausse du coût du travail

Les députés et sénateurs de la commission mixte paritaire (CMP) ont trouvé un consensus sur l'évolution des charges sociales patronales prévue dans le PLFSS pour 2025. Nous le présentons en détail alors que l'Assemblée nationale doit se prononcer dessus aujourd'hui.

Le débat sur la réforme des charges sociales patronales avance. Mercredi dernier, la commission mixte paritaire (CMP) du Parlement, qui réunit 7 députés et 7 sénateurs, a trouvé un accord sur le fameux article 6 du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025.

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Licenciement abusif d’un salarié ayant adhéré au CSP : comment calculer l’indemnité ?

La somme versée au titre de l’indemnité légale de licenciement au salarié ayant adhéré à un contrat de sécurisation professionnelle n’a pas à être prise en compte pour le calcul de l’indemnité pour licenciement sans cause réelle et sérieuse.

Lorsque le licenciement est jugé sans cause réelle et sérieuse, les juges du fond doivent accorder au salarié une indemnité, à la charge de l’employeur, dont le montant est compris entre des montants minimaux et maximaux fixés par le barème de l’article L 1235-3 du Code du travail, dans sa rédaction issue de l’ordonnance 2017-1387 du 22 septembre 2017.

A la une (brève)

Le Sénat adopte l'ensemble du PLFSS pour 2025

Hier, la Chambre haute a procédé au vote solennel en 1ère lecture en faveur de l'ensemble du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025. La commission mixte paritaire chargée de s’accorder sur un texte final, composée de sept sénateurs et sept députés, devrait se réunir aujourd'hui.

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Quelle indemnisation pour la salariée enceinte licenciée qui ne demande pas sa réintégration ?

La salariée enceinte dont le licenciement est nul et qui ne demande pas sa réintégration a notamment droit au paiement des salaires qu’elle aurait dû percevoir entre son éviction et la fin de la période de protection de 10 semaines après le congé de maternité.

L’employeur qui licencie une salariée en état de grossesse médicalement constaté, pendant l’intégralité des périodes de suspension du contrat de travail auxquelles elle a droit au titre du congé de maternité et des congés payés pris immédiatement après ce dernier ainsi que pendant les 10 semaines suivant l’expiration de ces périodes, encourt la nullité du licenciement, sauf s’il justifie d’une faute grave de l’intéressée, non liée à l’état de grossesse, ou de son impossibilité de maintenir ce contrat pour un motif étranger à la grossesse ou à l’accouchement (articles L 1225-4 et L 1225-70 d

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PLFSS pour 2025 : où en est-on ?

La chambre haute a terminé l'examen des articles du PLFSS pour 2025. Nous zoomons sur trois mesures adoptées : la réforme des allègements de charges sociales patronales, l'augmentation des cotisations et contributions sociales sur les contrats d'apprentissage et la hausse de la durée annuelle du travail.

Le Sénat a terminé samedi dernier l'examen en 1ère lecture des articles du PLFSS pour 2025. Nous faisons le point sur certaines mesures adoptées avant qu'il ne procède aujourd'hui au vote solennel sur l'ensemble du texte.

Paroles de

"L'intelligence artificielle est porteuse d’une profonde transformation de l’exercice du pouvoir dans l’entreprise"

Pascal Lokiec, professeur de droit à l'université Paris I-Panthéon-Sorbonne, vient de publier un ouvrage dans lequel il s'interroge sur les nouvelles formes de subordination (*). L'intelligence artificielle est au coeur de certains de ses développements. Interview.

Dans quelle mesure l’intelligence artificielle risque-t-elle d’entraîner une nouvelle forme de subordination, voire même de déshumanisation comme vous l'écrivez ?

A la une (brève)

Partage de la valeur : l'Urssaf rappelle que certaines entreprises doivent négocier pour 2025

Certains employeurs d’au moins 11 salariés et de moins de 50 salariés non soumis à l'obligation de participation doivent mettre en place un dispositif de partage de la valeur au titre de 2025. L'Urssaf rappelle les principales caractéristiques de ce dispositif.

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Allègements des charges sociales patronales : le Sénat amende le projet du gouvernement

La chambre haute a modifié l'article du PLFSS pour 2025 que l'exécutif propose pour réduire les allègements sur les charges sociales patronales. Elle refuse de diminuer le coefficient maximal servant à déterminer la réduction générale de cotisations et contributions sociales mais souhaite abaisser davantage, en 2025, les plafonds de revenus relatifs aux réductions de cotisations maladie et d'allocations familiales.

Le Sénat est favorable à une réduction des allègements généraux sur les charges sociales patronales. Mais il ne souhaite pas appliquer cet objectif aux plus bas salaires, précisément ceux situés entre le Smic et 1,6 Smic.